Giselle

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Giselle – Jean Coralli, Jules Perrot

Ballet en deux actes (1841)

Durée : 2h10 avec 1 entracte

 

Cela commence comme un conte de fées : la charmante paysanne Giselle aime un jeune homme qui, sous ses habits de villageois, s’avère être un duc. Hélas ! Albrecht – c’est son nom – ne pourra l’épouser car il est déjà fiancé.


À cette découverte, Giselle sombre dans la folie puis la mort. Elle est alors recueillie par les Wilis, âmes des jeunes filles délaissées par un amant infidèle. Se vengera‑t-elle d’Albrecht en l’entraînant dans la mort ou fera‑t‑elle triompher l’amour et le pardon ?


Créé en 1841 à l’Académie royale de Musique – ancêtre de l’Opéra de Paris –, ce ballet de Jules Perrot et Jean Coralli – ici adapté par Patrice Bart et Eugène Polyakov – a ouvert une nouvelle esthétique dans l’histoire de la danse occidentale.


Chaussons de pointes, arabesques et longs tutus blancs contribuent à évoquer un univers fantastique et diaphane, devenu l’incarnation même du romantisme.

 

 

          PERSONNAGES

Giselle : Jeune paysanne, elle tombe amoureuse de Loys, qui se révèle être le duc Albrecht. Elle meurt de folie et d’amour à la fin de l’Acte I.
Albrecht : Duc de Silésie, déjà promis à la princesse Bathilde, il séduit Giselle à la saison des vendanges.
Myrtha : Reine des Wilis, esprit des jeunes filles mortes avant leur mariage. La nuit, elles entrainent les hommes dans une danse mortelle.
Hilarion : Garde-chasse du village, amoureux de Giselle, il démasque Albrecht puis meurt, puni par les Wilis.  

 

Première partie

Acte 1 :

Un village en fête.

Giselle, l’une des jolies villageoises, est tombée amoureuse d’un beau garçon, venu d’ailleurs. Elle ignore qui il est. Il dit s’appeler Loys. Mais le garde-chasse Hilarion, que la jalousie rend perspicace, soupçonne quelque grand seigneur. La danse entraîne tout le monde. Valse

 

La mère de Giselle craint que la santé fragile de sa fille ne résiste à sa passion de danser et, évoquant le sort des malheureuses Wilis – mortes avant leurs noces, et condamnées à danser chaque nuit jusqu’au lever du jour –, redoute une issue fatale. Giselle, se riant des alarmes de sa mère, poursuit sa danse en compagnie du beau jeune homme. Elle est sacrée reine de la fête.

 

Pas de deux des paysans (que l’on a coutume d’appeler « Pas de deux des Vendangeurs »)

Le Prince de Courlande, venant à passer par là avec sa suite, s’arrête devant la maison de Giselle et demande à boire. Sa fille, la princesse Bathilde, est fiancée à Albrecht, Duc de Silésie, qui n’est autre que… le jeune homme qu’ Hilarion vient de démasquer en découvrant l’épée blasonnée de son rival. Giselle – sous le choc de cette révélation – perd la raison et meurt.

 

Deuxième partie

Acte 2 :

À minuit, dans la forêt, devant une pierre tombale surmontée d’une croix, passent furtivement des ombres blanches. Elles reviennent. Qui sont ces êtres immatériels ? Ce sont les Wilis, les âmes des jeunes filles délaissées par un amant infidèle. Elles se vengent en attirant, la nuit, les jeunes gens pour les perdre dans les ténèbres. Myrtha, leur reine, les rassemble car elles doivent accueillir celle qui, désormais, sera leur compagne : Giselle paraît, dans ses voiles blafards.

 

Danse des Wilis

 

Albrecht, venu répandre des fleurs sur la tombe de la jeune morte, voit surgir la blanche image de l’aimée, fantôme flottant qu’il veut saisir, mais qui sans cesse lui échappe. Elle fuit, il la suit, halluciné. Survient l’imprudent Hilarion que les Wilis entraînent dans une danse folle et meurtrière : il est leur première victime. Albrecht va devoir subir le même sort.

 

Giselle implore la clémence de Myrtha et des autres Wilis qui demeurent inflexibles. Condamné à danser jusqu’à épuisement, Albrecht est soutenu par l’amour de Giselle : danse désespérée qui, un instant, les unit.

 

Bientôt, les lueurs de l’aube contraignent les spectres à s’enfuir. Giselle, à son tour, disparaît, laissant Albrecht à la vie.

Programme et distribution

Défilé du Ballet de l’Opéra national de Paris

Uniquement lors des représentations des 30 sept. et 2 oct. 2025
Orchestre de l’Opéra national de Paris
Avec la participation du Junior Ballet et des élèves de l’École de Danse
Tutus et diadèmes des Étoiles réalisés par Chanel

 

Équipe artistique

Hector Berlioz - Musique - La Marche, extrait de l’acte I des Troyens

Andrea Quinn - Direction musicale

 

 

Requiem for a rose

Uniquement lors des représentations du 30 sept. et 2 oct. 2025

Entrée au répertoire - Avec le Junior Ballet

 

Équipe artistique

Annabelle López Ochoa - Chorégraphie

Franz Schubert - Musique

Andrea Quinn - Direction musicale

Tatyana van Walsum - Costumes

Tom Klefstad - Lumières

 

 

Giselle

Ballet en deux actes (1841)

 

Équipe artistique

Jean Coralli - Chorégraphie

Jules Perrot - Chorégraphie

Adolphe Adam - Musique(1803-1856)

Théophile Gautier - Livret

Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges - Livret

Andrea Quinn - Direction musicale

Patrice Bart - Adaptation

Eugène Polyakov - Adaptation

Alexandre Benois - Décors et costumes

Silvano Mattei - Réalisation des décors

Claudie Gastine - Réalisation des costumes

 

Les Étoiles, les Premières Danseuses, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet de l’Opéra
Orchestre de l’Opéra national de Paris

 

Durée : 2h10 avec 1 entracte

Ouverture

Première partie - 55 min

Entracte20 min

Deuxième partie - 55 min

Fin

Opéra national de Paris - Palais Garnier

RM Europa Ticket GmbH est un revendeur officiellement accrédité de/par l'Opéra National de Paris.

 

Numéro d'agence : 4848428

 

L'Opéra national de Paris est un établissement public industriel et commercial français créé en 1994, succédant aux institutions précédentes à la tête de l'Opéra de Paris, et placé sous la tutelle du ministère de la Culture. Il a pour mission de rendre accessible au plus grand nombre les œuvres du patrimoine lyrique et chorégraphique et de favoriser aussi la création et la représentation d'œuvres contemporaines. Il dispose à ce titre de deux salles : le palais Garnier (qui abrite le Ballet de l'Opéra national de Paris) et l'Opéra Bastille ainsi que d'un orchestre symphonique.

L'Opéra national de Paris contribue par ailleurs à la formation professionnelle et au perfectionnement des chanteurs et des danseurs, par son centre de formation d'art lyrique et par l'école de danse de Nanterre.

Enfin, le secteur animation et jeune public de l'opéra national de Paris élabore chaque saison un programme pédagogique.

L’Opéra national de Paris est dirigé par Nicolas Joel, Directeur, nommé par le ministre de la Culture pour un mandat de 6 ans (décret du 24 juillet 2009) renouvelable une fois pour une période de 3 ans1.

L'opéra national de Paris est membre de la ROF (Réunion des Opéras de France), de RESEO (Réseau européen pour la sensibilisation à l'opéra et à la danse) et d'Opera Europa.

 

L’Opéra Garnier, ou Palais Garnier, est un des édifices structurants du 9e arrondissement de Paris et du paysage de la capitale française. Situé à l'extrémité de l'avenue de l'Opéra, près de la station de métro du même nom, l'édifice s'impose comme un monument particulièrement représentatif de l'architecture éclectique et du style historiciste de la seconde moitié du XIXe siècle et s'inscrit dans la continuité des transformations de Paris menées à bien par Napoléon III et le préfet Haussmann.

Cette construction a longtemps été appelée l'« Opéra de Paris », mais depuis l'ouverture de l'Opéra Bastille en 1989, on la désigne par le seul nom de son auteur : Charles Garnier. Les deux sites sont aujourd'hui regroupés au sein de l'établissement public, industriel et commercial de l'« Opéra de Paris ».

Le Palais Garnier fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 16 octobre 19231.

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